Pour la patrie des Droits Humains, la diplomatie de Emmanuel Macron est ambigüe.
Dure semaine pour les droits humains.
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Abandonner 200 enfants francais détenus dans des camps en Syrie : une honte pour la France qui viole la Convention des droits de l'enfant !
Soutenons l'appel des @FamillesDes à Emmanuel Macron pour leur rapatriement. Ces enfants sont des victimes.
Quand on survit comme moi avec le vih depuis 32 ans, on se sent coupable que dans d’autres pays, tant de personnes séropositives, de sœurs et de frères de lutte meurent dans une indifférence glacée. D’où l’espoir que porte le Fonds Mondial : merci à Emmanuel Macron et à tous les États qui ont contribué.
L’espoir est là...
La fin du sida est à notre portée si nous ne relâchons pas les efforts ! #StepUpTheFight
When you survive like me with the VIH virus for 32 years, you feel guilty that, in other countries, so many HIV-positive people, sisters and brothers of fight, die in a cold indifference.
Hence the hope of the @GlobalFund: thanks to Emmanuel Macron and all the States that have contributed.
Hope is here ...
The end of AIDS is possible if we do not stop the mobilization !
Lettre ouverte à Emmanuel Macron dans le journal Le Monde
Les Français réclament une loi de liberté pour leur fin de vie : écoutez-les !
Réunion sur la fin de vie dans le cadre du Grand Débat National, le jeudi 21 février 2019, à 17 heures, à l’Espace Charenton
(3, rue Théodore-Hamont – Paris 12e)
L’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité publie dans le journal Le Monde (édition du 13 février, datée du 14 février) une lettre ouverte au président de la République, Emmanuel Macron, dans laquelle Jean-Luc Romero-Michel, président de l’ADMD, l’appelle à s’emparer du sujet de la fin de vie, même s’il les questions de société n’ont pas été intégrées au Grand Débat National.
Depuis la loi du 22 avril 2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie, la France contraint ses citoyens à un choix cruel entre obstination médicale et sédation, c’est-à-dire l’injection d’un sédatif suivie d’une dénutrition et d’une déshydratation, jusqu’à ce que mort s’en suive. Et les drames en fin de vie, rapportés par la presse et les témoignages de Françaises et de Français, se succèdent dans l’émotion permanente.
Alors que l’Espagne, le Portugal, l’Ecosse et même la très catholique Italie se sont emparés du sujet de l’euthanasie et/ou du suicide assisté, la France reste campée sur une position liberticide (la parole du patient n’est pas respectée) et agonique (la mort survenant en plusieurs jours, sans que l’on puisse affirmer, selon le professeur Régis Aubry, qu’elle ne survient pas dans la souffrance).
Jean-Luc Romero-Michel demande au président de la République d’entendre la voix des 90% des Français qui demandent la légalisation de l’aide active à mourir et de demander au Parlement de légiférer ; une loi d’intérêt général, respectueuse des volontés et des consciences, qui accorde un droit supplémentaire à ceux qui le souhaitent mais aucune obligation aux autres.
Cette loi serait également une belle façon de redorer l’image du pouvoir exécutif, en suivant les traces de celles et ceux (Robert Badinter, Simone Veil…) qui ont libéré et ouvert notre société à de nouveaux droits… Emmanuel Macron doit y réfléchir.
Un débat sur le sujet de la fin de vie sera organisé par l’ADMD autour de son président, Jean-Luc Romero-Michel, modéré par la journaliste Wendy Bouchard, le jeudi 21février 2019, à 17 heures, à l’Espace Charenton (3, rue Théodore-Hamont – Paris 12e). Le président de la République y a été invité…